nous vivons à la limite des mondes
Photographier une zone géographique en transition c’est suivre la mutation lente d’une société. Qu’est-ce qui s’ajoute? Qu’est-ce qui se retire? Qu’est-ce qui attend ? Dans cette Europe, cette Ex-Yougoslavie où la mémoire collective se fragmente, les traces des hommes jouent un rôle perturbateur entre l’intime et le commun, le passé et le présent et marquent ces passages d’un état à l’autre. photographies de 2001 à 2010 Photographing a geographical area in transition is to follow the slow transition from a society. What is added? What retires? What is waiting ? In this Europe, in the former Yugoslavia where the collective memory fragments, traces of men play a disruptive role between the private and the common, past and present, and mark these transitions from one state to another. photographs from 2001 to 2010